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ADIEU MES AMIS.
IParodie.
De la dépouille de ces bois
L'automne déja joncbait la terre,
Le bocage était sans mystère
Le rossignol était sansvoix.
Triste et mourant a mon aurore
Le front penché, a pas lents
Parcourais-je une fois encore
Ces lieux, fnnestes depuis trois ans!
Lieux que j'abhore! adieuje succombe,
Votre deuil me prédit mon sort,
Et a chaque feuille qui tombe,
J'ai fait un pas vers le dehors.
Patal oracle de Thémis
Tu m'as dit„Les feuilles des bois
„A tes yeux jauniront ici,
„Mais c'est pour la dernière fois
„Ton heureuse étoile t'abandonne
„Plus pale que la triste automne;
„Tu t'inclines vers la porte;
„Ta carrière sera fletrie
„Avant que l'herbe de la prairie
„Du sol fécond ne sorte."