A 156 pour vous. (a genouxpassionnément) Rosalie, ma chère Rosalieje yous aimeje vous adoreje Rosalie (riant). Ah, ah, ah! Mais monsieur Joseph, vous me faites rire. Ah, ah, ah! Joseph (se levant). Ahvous me repoussez alorsvous ne m'aimez pas Rosalie. Mais monsieur Joseph, ca ne se dit pas. Joseph. Et pourquoi pas, s'il vous plait? Rosalie. Parceque, parceque, cela ne sied pas. Joseph. Du moinslaissez-moi espérer. Rosalie. Mais non, monsieur Joseph. Joseph désespéré AhMonstre(déclamant les mains sur le coeur Pauvre homme, hardi dans la misère Mourez, ce sort est trop amer Brisez pauvre coeur. parlantVoila, mon coeur qui se brise il se laisse tomber dans un fauteuil). Rosalie (avec inquiétude). Mais qu'avez-vous Joseph Joseph (a voix éteinte). Non, laissez moi, cruelle femme. Cette fois-cij'ai eu trop. Je me meurs. (II tombe presqueRosalie leretient).

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Almanak der Koninklijke Militaire Akademie | 1883 | | pagina 302