157 Rosalie (de plus en plus inquiétéë). Josephmonsieur Josephrevenez a vous-même. Joseph (a voix éteinte). G'est trop tard! Je meurs en vous aimant. Rosalie. Joseph, voyons, il faut espérer. Joseph (se levant tout-a-coup) Plait-il? Oh! dites-le encore que vous m'aimezn'est ce pas? Oh, mot céleste. Elle m'aime. Dites-le encore, je vous en supplie. Rosalie (confuse). Je n'ai pas dit cela. Joseph. Mais vous m'avez dit d'espérer. Rosalie. Non, j'ai dit. il faut espérer de vivre. Joseph. Ah non, ce n'était pas cela. Rosalie (vexée). Ah, quel inonstre, monsieur Joseph, ce n'est pas vrai, vous dis-je. Joseph (riant). Elle l'a dit elle-même. Ahahelle est bonne celle-la. Rosalie (vexée). Monsieur Joseph, il parait que vous vous moquez de moi. S'il en est ainsi, je vous déteste. Joseph. AhMais ma mignonne. f.

Tijdschriftenviewer Nederlands Militair Erfgoed

Almanak der Koninklijke Militaire Akademie | 1883 | | pagina 303