»Aux derniers combattants de la Grande
Armée18 juin 1815".
La pluie tombait a torrents comme pour donner des
nouvelles forces a cette terre maudite et sacrée, mais
couverte quand-mêrne dun épais tapis vert, abreuvée
jadis du sang de tant de braves et la pluie tombait,
tombait toujours,mais nous voulions voir mourir
l'Aigle.
Nous laissames a notre droite le Lion et sa mon-
tagne trop ronde en suivant au grand trot la route
de Bruxelles derrière nous les nuages s'amoncelaient
encore et dans inon extase je crus voir dans le ciel
un guerrier brandissant son épée et menacant la plaine.