53 Enfin nous arrivames et il pleuvait toujours, l'Aigle était la mourant et j'entendais le rale de sa poitrine blessée, mais dans ses serres, il le tenait encore l'Etendard déchiré de l'Empire frangais. Alors comrae si exprès Dieu commanda la foudre je vis derrière 1 Aigle se fendre la voute griseun éclair sillonna et de ce Giel ouvert j'entendis de trés loin gronder encore les voix de ces milliers de braves. Quelqu'un qui était la trouvait l'Aigle trop bas, elle 1 aurait voulu, perché sur un rocher immense et domi nant la plaine. »Non vraiment, car l'Aigle a eet instant touche a son heure dernièresur une roche géante il serait trop prés des cieuxle cielc'est le rovaume des aigles jeunes et beauxdes aigles qui planent encore. Ah laissez le la tout prés de cette terre, immense dans l'agonie et ne l'élevez pas avec son Etendardlaissez le tel qu'il estentourez le de roses, afin que chaque soldat, qui le soir ou la nuit passé sur cette route, puisse cueillir une fleur et atteindre 1 Oiseau en étendant le bras pour offrir une rose comme un dernier hommage a eet Aigle expirant L. G. Bruxelles, le 26 mai 1906.

Tijdschriftenviewer Nederlands Militair Erfgoed

Almanak der Koninklijke Militaire Akademie | 1907 | | pagina 253