NAAR AANLEIDING YAN: „HET VRAAGSTUK
DER REPETEER-GEWEREN."
L'induatrie privée a, dans les Etats-Unis d'Amérique, établi des
armes a magasin qui peuvent tirer les cartouches, placées dans un
reservoir, beaucoup plus rapide encore qu'il ne vient d'ètre dit, parceque
le tireur n'a plus besoin de recharger après chaque coup. Cette
sorte d'armes offrait l'inconvénient de tenir le soldat désarmé pendant
l'espace de temps nécessaire pour recharger le magasin lorsqu'il était
épuisé. On y a remédié par un perfectionnement qui donne la faculté
de tirer l'arme en rechargeant coup après coup, soit avec le magasin
chargé, soit avec le magasin vide. L'ordre dispersé, aujourd'hui en
pratique dans l'infanterie de toutes les grandes puissances de l'Europe,
amènera les soldats a s'aborder de pres, en se précipitant l'un sur
l'autre, plus souvent qu'auparavant, et une arme nontenant quatre
ou cinq cartouches en réserve dans son magasin pourrait donner la
supériorité a ceux qui restent sur la défensive aussi bien qu'a ceux qui
attaquent dans ce moment décisif. On peut done supposer que les fusils a
magasin, dont les défauts sont encore très-apparents, pourront peut-
être se perfectionner de manière a mériter de prendre place a leur
tour parmi les armes de guerre. Déja la Suisse a pris les devants
en armant une partie de ses milices avec une arme a magasin dite
aussi fusil a rêpétition.
Zoo schreef zes jaren geleden de Generaal Favé in zijn „Cours
d'art militaire" (1), en schetste op die wijze tevens het standpunt,
waarop „het vraagstuk der repeteer-geweren" zich toenmaals bevond.
Hoe belangrijk ook de vooruitgang is, die sedert heeft plaats gehad,
toch is het vraagstuk der repeteer-geweren nog altijd een „vraagstuk,"
en zal het dit nog wel een geruimen tijd blijven, niettegenstaande
het aantal voorstanders van dit wapen steeds toeneemt.
(1) Journal des Sciences militaires 1876.
