270 Presumably, too, Liége, Namur and Antwerp produced a false feeling of security and it is this necessity of security which induces a nation to waste money on rigid and obsolete fortifications. Even a fortress of the Brialmont type, of concrete and armour, is an undoubted obstacle and will act as a deterrent and protection against an enemy who is either ill-armed or lacks determination. But for this reason the fall of such a place when attacked by a really determined and well-armed enemy is apt to be very sudden and have a disastrous effect on national moral. Such foitresses cannot be up to date particulary in these days of rapid scientific progress, and they are contrary to the principles of fortification. The weapons the enemy will use to attack them cannot be foretold, and, if rigid defences are built in time of peace, they will be no surprise in war, and consequently no real safeguard." Veel meer dan van permanente versterkingen, verwacht hij van het tot stand brengen van „verwoeste streken" in het begin van den oorlog om den vijandelijken opmarsch te remmen en eigen gereedstelling te waarborgen. Hij besluit zijn artikel met: „Build no more fortresses; build railways," was a saying of the elder Moltke after 1870. Modern developments suggest a slight amendment: „Build no more fortresses; destroy railways." La Revue maritime. Janvier 1925. Dit nummer brengt het slot van „Le Koenigsberg." Het heldhaftig gedrag van de bemanning van dit Duitsche oorlogsschip, dat tenslotte ten onder ging tegen een groote overmacht, waaronder speciaal de uit Engeland met veel moeite over den oceaan gebrachte monitors Severn en Mersy, wordt in dit artikel op objectieve wijze naar voren gebracht. Zelfs nadat de kruiser zelf geheel buiten gevecht was gesteld, lukte het der bemanning zich met het grootste deel der bewapening (w o. 10 cM. kanons) aan te sluiten bij de Duitsche troepen rn Oost-Afrika- Uit de „Chronique des marines frangaise et étrangères vermelden we een bespreking „Singapou: et Hong-Kong" waarin de waarde van Singapore als vlootbasis wordt uiteengezet in vergelijking met die van Hongkong. De noodzakelijkheid voor Engeland om Singapore te versterken wordt als volgt betoogd: „En somme, conclut le journal américain, lastratégie navale dé 1'Empire britannique consiste dans Ia défense des communications maritimes impériale. Avant la guerre, eet objectif était atleint en maintenant des forces dans les différentes tners du globe. En 1914, la Grande-Bretagne avait une flotte d'environ 80 batiments de ligne, de nombreux croiseuts et des forces légères importan.es. La conférence de Washington a réduit l'effectif de la marine britannique a 15 batiments de ligne: alle aégalement réduit l'armement et le tonnage des croiseurs et des sous-marins. Ceci revient a dire qu'au lieu de posséder plusieus flottes de bataille, 1' Empire britannique n'en possède plus qu'une. Cette dernière doit être non seule- ment trés mobile mais avoir des bases qui lui permettent d'opérer dans une mer quelconque. Un batiment de ligne moderne peut emoorter du combustible pourdix jours de route. Dans le même espace, il peut trans porter pour 22 jours de pétrole, ou bien en utilisant les doublefonds, pour 56 jours. Un coup d'oeil sur Ia carte montre que Singapour est le centre géographique de l'Empire Anglais, que, de la, un capital- ship moderne peut traverser le Pacifique ou l'océan Indien sans se réap- provisionner. Au contraire, sans une base navale de première importance a Singapour, la force de bataille de l'Empire serait chassée du Pacifique par le manque de docks et de reparation. Actuellement, les seuls docks se lrouvent en Angleterre. De la résulte que Singapour est une nécessité vitale pour la sécurité des routes commerciales, pour Ia défense de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, et pour les autres parties de l'Empire".

Tijdschriftenviewer Nederlands Militair Erfgoed

Indisch Militair Tijdschrift | 1925 | | pagina 68