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armos automatiques entrent en action au moment oü i'attaque a déja
éctioué; dans ia lutte a ['intérieur de ia position, cette faute est frequem-
ment relevée.
c) Des imprudences graves, plus particulièrement commises par les
mitrailleuses lourdes, qui exécutent ie tir par-dessus les troupes sans
avoir fait les calculs nécessaires, sans souci du danger que courent les
éléments de première ligne.
Si des professionnels soigneusement instruits commettent, en temps de
paix, de semblables fautes, que sera-ce lorsqu'ils seront noyés dans une
levée en masse? En nous gardant de la surprise, en utilisant a temps
tous nos moyens, n'aurions-nous pas de belles occasions de détruire ou
de capturer des éléments adversaires pris en flagrant délit d'imprudence
Een -tweede belangrijk artikel is dat van den colonel Etienne over
„L'infanterie dans la prise de contact". Eerst wordt daarin behandeld
„Une grande unité chargée d'une mission offensive." Deze „prise de
contact" bestaat uit:
„A déterminer tout d'abord ie contour apparent de I'er,nemi, puisabala-
yer les resistances (éléments de cavalerie, cyclistes, petits détachements
d'infanterie, etc. „cour précser la ligne sur laquelle l'adversaire
offre une résistance solidement organisée" (article 114 de ('Instruction provi
soire sur l'emploi tactique des grandes unités)
Et s'installer, enfin, solidement, sur ie terrain conquis, en face de cette
résistance organisée „pour y constituer une base de départ aux roupes
chargées de mener le combat par la suite" (article 75 du Règlement pro
visoire de manoeuvre de l'infaate:ie).
Dans l'approche, l'infanterie n'a pas a faire usage de son propre feu,
mais elle prend toutes précautions utiles pour se garantir du feu de I'en-
nemi: la prise de contact, „l'engagement," commence, pour une unité
d'infanterie, lorsque, la progression ne pouvant plus être poursuivie que
par la combinaison du feu et du mouvement, cette unité est obligée de
faire usage de son propre feu pour répondre au feu de l'ennemi" (article
70 du Règlement d'infanterie).
Na verschillende beschouwingen wordt tenslotte een ongelukkig gevecht
uit het begin van den oorlog (dat bij Cirey, 14 Augustus 1914) in beschou
wing genomen en aan de hand der tegen woordige voorschriften bestudeerd
welke maatregelen in de daar aanwezige omstandigheden hadden getroffen
moeten worden.
Het reeds vroeger vermïlde „Une méthode d'instruction des cadres"
wordt in dit nummer voortgezet met oefening No. 4„Elaboration du plan
des feux d'un régiment d'infanterie dans une situation défensive".
Artilleristische Monatshefte Januari/Februar 1925. Oeneraal Rohne
schrijft „Vom Gaskampf". Zijn eindconclusie willen we hier overnemen:
„Die Frage, ob dem Gaskampf, insbesondere den Gasgeschossen der
Artillerie im Bewegungskriege eine grosze Rolle zufallen wird,
möchte ich verneinen. Einmal, weil die Wirkung in hohem Grade von der
Witterung abhangig ist. Wind von einer Starke über 3 m/sek macht das
Gasschieszen unwirksam; nach den Beobachtungen des Observatoriums
in Potsdam betragt die mittlere Windgeschwindigkeit in unseren Gegenden
etwa 5,5m; es wird dahersehr selten die Gelegenheit sein von den Gasgeschos
sen Gebrauch zu machen. Im Stellungskriege liegt die Sache anders; dort kann
man die Geschosse in der Feuerstellung niederlegen und auf den günstigen
Zeitpunkt warten. Ferner ist die Wirkung dieser Geschosse örtlich sehr be-
schrankt; man braucht daher verhaltnismaszig grosze Munitionsmengen.um
eine genügende Wirkung zu erzielen. Eine andere Frage waie, ob nicht die Bei-
gabe einer gewissen Menge dieser Stoffe in Schrapnells eine gute Wirkung
hervorbringen könnte. Derartige Geschosse sind auf deutscher Seite im
Oktober 1914 bei Neuve Chapelle versucht worden. Es handelte sicli hier
nicht um Giftgase, sondern urn die Beigabe einer geringen Menge eines Au-
genund Nase reizenden Staubes Die schnell voriibergehende Schrapnellwir-