399 armos automatiques entrent en action au moment oü i'attaque a déja éctioué; dans ia lutte a ['intérieur de ia position, cette faute est frequem- ment relevée. c) Des imprudences graves, plus particulièrement commises par les mitrailleuses lourdes, qui exécutent ie tir par-dessus les troupes sans avoir fait les calculs nécessaires, sans souci du danger que courent les éléments de première ligne. Si des professionnels soigneusement instruits commettent, en temps de paix, de semblables fautes, que sera-ce lorsqu'ils seront noyés dans une levée en masse? En nous gardant de la surprise, en utilisant a temps tous nos moyens, n'aurions-nous pas de belles occasions de détruire ou de capturer des éléments adversaires pris en flagrant délit d'imprudence Een -tweede belangrijk artikel is dat van den colonel Etienne over „L'infanterie dans la prise de contact". Eerst wordt daarin behandeld „Une grande unité chargée d'une mission offensive." Deze „prise de contact" bestaat uit: „A déterminer tout d'abord ie contour apparent de I'er,nemi, puisabala- yer les resistances (éléments de cavalerie, cyclistes, petits détachements d'infanterie, etc. „cour précser la ligne sur laquelle l'adversaire offre une résistance solidement organisée" (article 114 de ('Instruction provi soire sur l'emploi tactique des grandes unités) Et s'installer, enfin, solidement, sur ie terrain conquis, en face de cette résistance organisée „pour y constituer une base de départ aux roupes chargées de mener le combat par la suite" (article 75 du Règlement pro visoire de manoeuvre de l'infaate:ie). Dans l'approche, l'infanterie n'a pas a faire usage de son propre feu, mais elle prend toutes précautions utiles pour se garantir du feu de I'en- nemi: la prise de contact, „l'engagement," commence, pour une unité d'infanterie, lorsque, la progression ne pouvant plus être poursuivie que par la combinaison du feu et du mouvement, cette unité est obligée de faire usage de son propre feu pour répondre au feu de l'ennemi" (article 70 du Règlement d'infanterie). Na verschillende beschouwingen wordt tenslotte een ongelukkig gevecht uit het begin van den oorlog (dat bij Cirey, 14 Augustus 1914) in beschou wing genomen en aan de hand der tegen woordige voorschriften bestudeerd welke maatregelen in de daar aanwezige omstandigheden hadden getroffen moeten worden. Het reeds vroeger vermïlde „Une méthode d'instruction des cadres" wordt in dit nummer voortgezet met oefening No. 4„Elaboration du plan des feux d'un régiment d'infanterie dans une situation défensive". Artilleristische Monatshefte Januari/Februar 1925. Oeneraal Rohne schrijft „Vom Gaskampf". Zijn eindconclusie willen we hier overnemen: „Die Frage, ob dem Gaskampf, insbesondere den Gasgeschossen der Artillerie im Bewegungskriege eine grosze Rolle zufallen wird, möchte ich verneinen. Einmal, weil die Wirkung in hohem Grade von der Witterung abhangig ist. Wind von einer Starke über 3 m/sek macht das Gasschieszen unwirksam; nach den Beobachtungen des Observatoriums in Potsdam betragt die mittlere Windgeschwindigkeit in unseren Gegenden etwa 5,5m; es wird dahersehr selten die Gelegenheit sein von den Gasgeschos sen Gebrauch zu machen. Im Stellungskriege liegt die Sache anders; dort kann man die Geschosse in der Feuerstellung niederlegen und auf den günstigen Zeitpunkt warten. Ferner ist die Wirkung dieser Geschosse örtlich sehr be- schrankt; man braucht daher verhaltnismaszig grosze Munitionsmengen.um eine genügende Wirkung zu erzielen. Eine andere Frage waie, ob nicht die Bei- gabe einer gewissen Menge dieser Stoffe in Schrapnells eine gute Wirkung hervorbringen könnte. Derartige Geschosse sind auf deutscher Seite im Oktober 1914 bei Neuve Chapelle versucht worden. Es handelte sicli hier nicht um Giftgase, sondern urn die Beigabe einer geringen Menge eines Au- genund Nase reizenden Staubes Die schnell voriibergehende Schrapnellwir-

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Indisch Militair Tijdschrift | 1925 | | pagina 57