402
1. Le groupe de compagnie.
2. Les 4 section (3 sections de minenwerfer légers, 1 section de mi-
nenwerfer moyens).
3. L'échelon.
4. Le train de combat.
10. Le groupe de compagnie se compose de:
1 sous-officier montë, observateur auxiliaire, avec lunette a ciseaux:
I estafette, en même temps garde-chevaux
1 sous-officier a bicyclette, chef de la voiture observatoir;
1 sous-officier a bicyclette, chef des signaleurs
4 signaleurs;
1 voiture observatoire avec avant-train.
2o. La section de minenwerfer se compose de
1 groupe de section
2 mortiers, légers ou moyens, avec avant-train. Les avant-trains des
M.W. légers sont attelés de deux chevaux; ceux des M. W. moyens de
quatre chefaux;
1 ou 2 voitures a munitions avec avant-train et voiturette a bras.
En principe la section de minenwerfer légers dispose d'une voiture a
munitions a deux chevaux; la section moyenne dispose de deux voitures
de ce genre. Lorsque la section légère est détachée cu lorsqu'on prévoit
quelle devra mettre en ligne ses pièces isolément, le commandant de
compagnie peut lui assigner une deuxième voiture ti'ée de l'échelon.
Le groupe de section contprerd:
1 sous-officier observateur orienteur 1 (cercle de visée et
petit chevaletmontés.
1 garde-chevaux avec lunette a ciseaux
1 sous-officier observateur-orienteur II, a vélo (cercle de
visée et 2 jalons)non
1 télémétreurmontés.
3 signaleursV
1 coureur
3o. L'échelon comprend 3 voitures a munitions pour projectiles légers
et 1 voiture pour obus moyens; chaque voiture traine une voiturette k
bras. L'échelon est commandé par un sous-officier monté.
4o. Le train de combat se sompose de la voiture a réparation et de la
cuisine de campagne, généralement sous la conduite d'un sousofficicr (morté).
11. Le train de ravitaillement comprend 1 fourgon a vivres et 1 four-
gon a fourrages; il est conduit par un sous-officier a bicyclette.
III. Le train de bagages se compose d'un fourgon a bagages sous Ia
conduite d'un sous-officier a bicyclette."
Revue Militaire fran?aise. Février 1925. Ook hierin weer een lij vige studie,
geïnspireerd door het stofopwaaiende Duitsche werk van von Taysen.
Thans neemt de bekende kolonel Alléhaut de pen ter hand. Voor onze
lezers kan het oude spreekwoord gelden „du clioc des opinions, etc
hoewel dan toch nog steeds bedacht moet worden, dat het hoogstens een
waarheid voor de Fr. en D. legers kan zijn.
Een niet minder actueel onderwerp nl.Réflections sur l'artillerie d'ac-
compagnement" wordt behandeld door commandant Menjaud.
Hij komt daarin o.a tot de volgende redeneeiing:
„Daas l'offensive, comme dans la défensive, les services importants
mais de détail que le régiment d'infanterie demande k son artil
lerie d'appui direct, il peut les recevoir, plus vite et plus sürement,
de sa battene d'accompagnemert. On n'en saurait conclure que l'infanterie
ne recevra d'autre aide de l'artillerie que celui que lui donnera sa batte-
rie; il semble tout au contraire que, si les régiments d'infanterie ne dis
posent plus directement de fractions d'artillerie de campagne, l'infanterie
dans son ensemble peut compter sur un meilleur appui de l'artillerielorsqu'un
régiment d'infanterie dispose d'une artillerie d'appui direct, cette artillerie