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Schweiierische Viertcljahrschrift fiir Kriegs wissenschaft. 1925. Heft 2.
Het nummer wordt ingeleid met een in memoriam Oberst Karl Egli.
„Die Krisis in der Marneschlacht" door Oberst Eugen Bircher wordt
vervolgd. Het is een zeer goed gedocumenteerd en objectief relaas.
Verder vermelden we het vervolg van „Mes impressions de guerre" door
colonel Lebaud, waarin duidelijk raar voren komt hoe weinig het alge-
meene verloop in grooter verband door de vechtende en marcheerende
onderdeden wordt overzien.
Interessant is de beschiijving van de verplaatsing per spoortrein van
troepen van het gevechtsterrein nabij St. Menehould naar dat aan de Ourcq.
Het traject St. Menehould-Parijs vordert 3 etmalen! Wij halen hieruPaan:
„5 Septembre. Au jour, nous sommes toujours lal Le train a, parfois,
quelques velléités de mouvement: il se remet en marche a l'allure de
l'homme au pas, s'arrête, puis repart ainsi une ou deux heures plus tard.
Les hommes ont vite compris le rythme de la manoeuvre: ils descendent
pour faire le café au bord de Ia voie— lorsque le train se remet en marche,
ils le suiventen portant bidons et marmites a l'arrêt un coup de bêche
et le feu est vite rallumé Et toujours sans maugréer' en recom-
mengant chaque fois philosophiquement 1„Quel bon train des families,
disent ils; il vaut mieux être la dedans que sous les marmites!" Notre
chef de popote, toujours ingénieux, trouve le moyen d'installer surun truc
derrière notre wagon un rêchaud a charbon qu'il avait acheté a la course
en traversant une petite localité et, par suite.de nous faire manger
chaud jusqu la fin du voyage.
Le temps est superbe. Le soir, c'est délicieuxde prendre le frais en de-
visant, assis sur le truc. Lesrepass'y préparent a merveille, et nous n'avons
jamais aussi bien mangé depuis le début de Ia campagne. Ce train fabu-
leux est une vilégiature idéale! Ma foi, les officiers en apprécient le
charme aussi bien que leurs hommes. Quand il faut se battre, personne
ne rechigne; mais il serait hypocrite de dire que c'est a regret que Ton
se voit retiré du feu momentanément.
La nuit nous trouve dans la même situation.
Voorts verschijnt nog het le gedeelte van „Die Kavalerie im Palasti-
nafeldzuge" door Major A.D.O. Welsch.
Revue Militaire Franyaise Juillet. 1925. Robert Duché beëindigt: „La
bataille de la Marne a-t-elle été engagée 24 heures trop tot?" In zijn
conclusies komt schrijver tot een bevestigend antwoord op deze vraag.
Van „A propos d'un jugement allemand, etc." geeft dit nummer het
lVe gedeelte. De schrijvers betoogen hierin in strijd met de beweringen
van von Taysen dat:
„1. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doitpas entrainer
la sujétion de ['infanterie aux autres armes, les armes a materiel.
2. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doit pas conduire
l'infanterie a oublier la vertu de la manoevre ni la toute-puissance du choc.
3. II ne faut pas que le dogme de l'indispensable supériorité du feu
entraine pour l'infanterie un souci excessif d'éviter des pertes.
4. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doit pas avoir pour
conséquence l'inflation démesurée des armes dites a materiel, aux dépens
de l'infanterie."
Ook vestigen wij de aandacht op: „Une seconde legon de la guerre de
sécession" door lieutenant-colonel Dalle, dat nog vervolgd moet worden.
Heerestechnik Juli 1925. Van „Die leitenden Grundgedanken der neuen
Feldbefestigungsvorschrift" door Major Klingbeil verschijnt het slot. Over
de verdediging in den bewegingsoorlog vonden we daarin het volgende:
„Hinhaltendes Verteidigen erfordert breites Gliedern, weites Schuszfeld
in der Hauptsache nur fiir Artillerie und s. M G„ Möglichkeit gedeckten
Abmarsches, also Höhenstellungen, grüsztes Ausnutzen starker natiirlicher
und künstlicher Hindernisse, reichlichen Spatengebrauch und imallgemei-
nen Verzicht auf Unterstande.