662 Schweiierische Viertcljahrschrift fiir Kriegs wissenschaft. 1925. Heft 2. Het nummer wordt ingeleid met een in memoriam Oberst Karl Egli. „Die Krisis in der Marneschlacht" door Oberst Eugen Bircher wordt vervolgd. Het is een zeer goed gedocumenteerd en objectief relaas. Verder vermelden we het vervolg van „Mes impressions de guerre" door colonel Lebaud, waarin duidelijk raar voren komt hoe weinig het alge- meene verloop in grooter verband door de vechtende en marcheerende onderdeden wordt overzien. Interessant is de beschiijving van de verplaatsing per spoortrein van troepen van het gevechtsterrein nabij St. Menehould naar dat aan de Ourcq. Het traject St. Menehould-Parijs vordert 3 etmalen! Wij halen hieruPaan: „5 Septembre. Au jour, nous sommes toujours lal Le train a, parfois, quelques velléités de mouvement: il se remet en marche a l'allure de l'homme au pas, s'arrête, puis repart ainsi une ou deux heures plus tard. Les hommes ont vite compris le rythme de la manoeuvre: ils descendent pour faire le café au bord de Ia voie— lorsque le train se remet en marche, ils le suiventen portant bidons et marmites a l'arrêt un coup de bêche et le feu est vite rallumé Et toujours sans maugréer' en recom- mengant chaque fois philosophiquement 1„Quel bon train des families, disent ils; il vaut mieux être la dedans que sous les marmites!" Notre chef de popote, toujours ingénieux, trouve le moyen d'installer surun truc derrière notre wagon un rêchaud a charbon qu'il avait acheté a la course en traversant une petite localité et, par suite.de nous faire manger chaud jusqu la fin du voyage. Le temps est superbe. Le soir, c'est délicieuxde prendre le frais en de- visant, assis sur le truc. Lesrepass'y préparent a merveille, et nous n'avons jamais aussi bien mangé depuis le début de Ia campagne. Ce train fabu- leux est une vilégiature idéale! Ma foi, les officiers en apprécient le charme aussi bien que leurs hommes. Quand il faut se battre, personne ne rechigne; mais il serait hypocrite de dire que c'est a regret que Ton se voit retiré du feu momentanément. La nuit nous trouve dans la même situation. Voorts verschijnt nog het le gedeelte van „Die Kavalerie im Palasti- nafeldzuge" door Major A.D.O. Welsch. Revue Militaire Franyaise Juillet. 1925. Robert Duché beëindigt: „La bataille de la Marne a-t-elle été engagée 24 heures trop tot?" In zijn conclusies komt schrijver tot een bevestigend antwoord op deze vraag. Van „A propos d'un jugement allemand, etc." geeft dit nummer het lVe gedeelte. De schrijvers betoogen hierin in strijd met de beweringen van von Taysen dat: „1. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doitpas entrainer la sujétion de ['infanterie aux autres armes, les armes a materiel. 2. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doit pas conduire l'infanterie a oublier la vertu de la manoevre ni la toute-puissance du choc. 3. II ne faut pas que le dogme de l'indispensable supériorité du feu entraine pour l'infanterie un souci excessif d'éviter des pertes. 4. Le dogme de l'indispensable supériorité du feu ne doit pas avoir pour conséquence l'inflation démesurée des armes dites a materiel, aux dépens de l'infanterie." Ook vestigen wij de aandacht op: „Une seconde legon de la guerre de sécession" door lieutenant-colonel Dalle, dat nog vervolgd moet worden. Heerestechnik Juli 1925. Van „Die leitenden Grundgedanken der neuen Feldbefestigungsvorschrift" door Major Klingbeil verschijnt het slot. Over de verdediging in den bewegingsoorlog vonden we daarin het volgende: „Hinhaltendes Verteidigen erfordert breites Gliedern, weites Schuszfeld in der Hauptsache nur fiir Artillerie und s. M G„ Möglichkeit gedeckten Abmarsches, also Höhenstellungen, grüsztes Ausnutzen starker natiirlicher und künstlicher Hindernisse, reichlichen Spatengebrauch und imallgemei- nen Verzicht auf Unterstande.

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Indisch Militair Tijdschrift | 1925 | | pagina 54