402 kiest hij de methode van de vuurwals boven die van opvolgende vuurconccn- traties. Hij diukt dit als volgt uit: „Au total, si l'on nous donnait a choisir entre une protection trés dévelop- pée avec des concentrations sérieuses comme appui direct et un barrage roulant dense avec des tirs de protection réduits, nous préférerions ce dernier procédé, surtout pour avoir un masque tendu sans lacunes entre les mitrailleuses, lointaines et rapprochées ennemies, et nos premiers éléments d'infanterie." Ook is hij van meening dat het indeelen van „artillerie d'accompagnement immédiat", dus van z.g. Begleitbatteriën weinig zin heeft wanneer dit moet gaan ten koste van de infanteriebatterijen. Hij is van oordeel dat „Les tirs sur objectifs non prévus d'avance doivent être le fait le. D'engins d'accompagnement; 2e. De groupes a la disposition du commandement d'ensembie, en principe, du général de division." Van belang zijn ook zijne beschouwingen over de formaties en de wijze en snelheid van voorwaarts gaan der infanterie bij den aanval. Waarschuwend tegen de neiging om het als beginsel voor onze infanterie aan te nemen, willen wij zijn oordeel daarover toch aanhalen „11 faut cependant, que Failure moyenne prescrite a l'infanterie soit trés lente, pour que tous, forts et faibles, lourdement chargés puissent sürement la suivre pour que tous, après les chutes, les détours, les luttes partielles même, puissent rejoindre leurs camarades, et surtout (chose essentielle et vitale) re- coller aux derniers éclatements de l'appui direct." Voorts is merkwaardig hetgeen hij zegt over het vuur over eigen troepen door zware mitrailleurs. Hiervoor blijkt hij in het algemeen niet veel te voe len, als hij schrijft „L'infanterie qui avance (il en est tout autrement dans la défensive pour des groupes de fantassins immobiles en des points précis et généralement abrités, notannnent de barrière) répugne a sentir passer les balles de ses pro- pres mitrailleuses au-dessus ou a cöté d'elle. Et combien il est souvent diffi cile pour les mitrailleurs ou tout autre observateur en arrière - de savoir exactement oü sont les premiers éléments amis qui progressent. Cela ne veut pas dire que, dans les circonstances favorables (grand com mandement de terrain, larges intervalles), on ne devra pas faire appel a ces tirs de barrière, qui ont le grand avantage de laisser les mitrailleuses en pro- fondeur et de permettre parfois plus longtemps une action de feu, en même temps que la progression de l'infanterie." Het verdient o. i. aanbeveling aan deze stemmen uit de practijk van den oorlog de noodige aandacht te besteden. Ten volle onderschrijven we zijn uitspraak aan het eind zijner studie „L'infanterie, j'entends la bonne infanterie, doit avoir dans l'armée une place, disons-le, privilégiée. Elle y a droit. Elle en a besoin, si l'on veut lui maintenir la qualité nécessaire. Les souffrances et les dangers exceptionnels sont le fondement de légitimes privilèges. Si nul ne songe, au jour de l'attaque, a contester a l'infanterie sa place de sacrifice en avant des autres, la première place il est de l'honneur et de l'intérêt de tous de ne pas la lui contester après. Car, après, c'est aussi avant la prochaine attaque. Et malheur a ceux qui auront a attaquer et surtout a se défendre avec une mauvaise infanterie." Met zeer veel belangstelling lazen we ook het vervolg van „Réflexions sur la part que l'on doit attribuer a l'individu et a l'unité d'infanterie dans Ie combat." Hierin verkondigt de schrijver, capitaine Laffarque, verrassend nieuwe ideën. Zoo zegt hij „De nos jours, après avoir également constitué des catégories différentes de fantassins pour faire face immédiatement aux besoins qui se sont manifestés sur le champ de bataille, nous devons, a nouveau, nous orienter vers le com battant complet, possédant les divers moyens d'action actuellement répartis dans l'ensemble du groupe, capable, par conséquent, de se battre contre un

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Indisch Militair Tijdschrift | 1926 | | pagina 66