R. M. Fr. Mei 1 9 2 9. „Le commandant du XVIII C. A. de rés. se résout done a dif- „férer encore l'ordre de retraite, il maintient son P. C. dans la „petite ville, presque sur la ligne de feu, pendant que le général „Rampacher, son divisionnaire de droite, reste stoïquement a „quelques centaines de mètres des premiers tirailleurs, sous la „mitraille qui fauche impitoyablement ses officiers de liasion." R. M. Fr. Aug. 1 9 3 0. Begin van den slag aan de Ourcq. Duitsche IV res. A. K. Von Gronau in den strijd tegen de Div. Groep De Lamaze (Vie Armée). „Du cöté allemand, le général Von Gronau veut avant tout „reconnaitre ce que fait l'ennemi. II sait done nettement ce qu'il „veut. Aussi place-t-il son P C. sur la ligne de combat, a l'ob- „servatoire de Monthyon d'oü nos artilleurs ont vite fait de le „déloger. II se place alors a 1000 mètres en arrière de la première „ligne, a un autre observatoire moins exposé. De la, il ressent „et voit encore toutes les fluctuations du combat. Connaissant „son terrain, il imprime dès le début une impulsion personnelle „au combat mainmise rapide sur l'observatoire de Monthyon par la „division Schwerin, poussée vivement en colonne de division sur „la localité; „—l'observatoire tenu, combat passif devant Iverny; puis reconnaissance en masse sur le bois des Tillières, pour „en déterminer le contenu contre-attaque Riemann ensuite sur Penchard pour couvrir „son attaque principale. „Du cöté francais, le général De Lamaze est a Thieux, son „P, C., done a 8 kilomètres d'Iverny. 11 est a son poste régle mentaire de stationnement de fin de marche. On ne s'attend „pas a une rencontre. Aux premiers coups de canon, il estime „qu'il s'agit d'un combat avec un détachement de flanc-garde. „De Thieux, on ne sait en réalité ce qu'il se passé du cöté de „Monthyon qu'en fin de soirée. Le général commandant le groupe „de divisions de réserve ne peut faire sentir son action per sonnelle dans le combat. Aussi ses divisions combattent-elles „chacune pour leur propre compte. Le général Leguay, a Nan- „touillet au début du combat, ne sait lui-même ce que fait son „avant-garde que vers 15 heures. Son action ne se fera sentir „que vers 18 heures." (Men herinnere zich, dat het ontmoetings- gevecht te 13 uur losbrak.) „En citant ces exemples, nous ne voulons pas faire une critique „ou un éloge des méthodes employées, mais constater des faits. „Le général Von Gronau s'est peut-être trop imprudemment avancé „en se portant a Monthyon. II aurait pu y être tué et par sa „témérité son corps d'armée aurait été privé de direction etpeut- „être défait. 550

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Indisch Militair Tijdschrift | 1932 | | pagina 12