„libérale, des romanesques séduits par les infortunes d'une femme, „des jouisseurs désespérément attachés a la manne dont ils vivent „depuis vingt ans. En courtisans avisés, ils regardent l'avenir plutöt „que le passé ils songent plutöt au prince imperial, dont le jeune „age prolongera forcément la régence de l'impératrice, qu'a l'empe- „reur vieilli par la maladie et l'infortune, au joueur obstiné que la „chance a sans doute abandonné pour toujours. Son retour a Paris „réduirait a rien le pouvoir de la régente et ferait, peut-être aussi, „courir des dangers sérieux a la dynastie. L'intérêt public s'accorde „avec l'intérêt privé pour en faire repousser le pensée par l'entourage „impérial." Na het vorenstaande behoeft het geen verder betoog, dat van NAPOLEON's Keizerlijke besluiten niets kwam generaal Trochu werd gouverneur van Paris, den Keizer werd verboden naar de hoofdstad te komen, evenals aan het leger van De Mac Mahon. Minister-president was op dat oogenblik de generaal De Palikao, en het is leerzaam om hier een klein deel van de speeches van dezen minister weer te geven, welke hij op 18 en 20 Augustus voor de Kamer hield, en waarbij hij zijn leugens zelfs niet met een waasje van oprechtheid omkleedde. Zooals hiervoren gezegd, waren de komst van Trochu en de Keizerlijke besluiten voor hem hoogst onwelkome berichten geweest, weshalve hij en met succes alles in het werk had gesteld om die plannen ongedaan te maken. Dit deelde hij volgens de „Handelingen" op de volgende wijze aan de Kamer mede „Cherchant un homme intelligent, actif, énergique, capable „de réunir dans sa main tous les pouvoirs nécessaires pour effectuer „l'armement de Paris, j'ai songé a M. le général Trochu et je l'ai „rappelé moi-même du camp „(Trés bienl) „Voila, Messieurs, le motif qui m'a fait rappeler a Paris le général „Trochu il n'y en a pas d'autres nous n'avons pas la moindre inquié- „tude en ce moment, au contraire „(Vive approbation et applaudissements.) „II est constant que le corps de Steinmetz, qui tenait le centre „de l'armée prussienne, a éprouvé des pertes telles que le comman- „dant de ce corps d'armée a été obligé de demander un armistice „pour enterrer ses morts et enlever les blessés. Les Prussiens ont „voulu par la gagner du temps. „Steinmetz s'est retiré sur Saint-Mihiel pour faire sa jonction avec „le prince royal. Tout indique qu'il a été obligé de s'y arrêter a cause „de ses pertes. Le régiment de cuirassiers blancs de M. de Bismarck „a été totalement anéanti Messieurs les députés, les Prussiens „ont mis en circulation certains bruits qui tendraient a faire croire „qu'ils ont obtenu un trés grand avantage le 18 aout. C'est leur pre vention je viens ici rétablir les faits. „(Mouvement. Trés bienl „Sans entrer dans les détails que je ne peux donner ici, vous le „comprendrez (Ouiouije me bornerai a dire que j'ai „communiqué a quelques-uns d'entre vous, Messieurs, les dépêches „que j'ai recues et qui constatent que, le 18, trois corps de l'armée prus- 661

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Indisch Militair Tijdschrift | 1937 | | pagina 9