Trouves bon que j'adjoute encor que je crois qu'on pouroit sans risquer laisser partir Petcum. J'ay remarqué par la lettre a Milord que vous lui ecrives sur ce point. Je me trompe fort s'il vous le conseillera; ni lui, ni le Prince, crojes moi, ne cherchent pas la paix; ils sont touts deux dans une extreme impatience de voir aretter 1'Etat de guere. C'est a vous Monseigneur a prendre les mesures que vous crojes les plus convenables au bien de la chère patrie; la situation dans laquelle elle se trouve, me paroit asses critique. Sojes sur que je n'ecris de tout cecy a personne. Le siege avance asses bien; nous sommes maitres de la contrescarpe devant l'ouvrage a corne de Bertamont, mais ne contes pas qu'avec tout cela nous serons maitres de la ville avant le 26 a 2 7ieme. N'y a il pas mojen de finir l'afifaire de Dedem? J'espère qu'enfin on est con- venu sur la barrièrele temps presse pour faire ratifier la convention par le Roi Charles. Je suis avec bien de la sincerité et de passion etc. 803

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NIMH | 1959 | | pagina 845