SOMMAIRE
Bien que le champ d'aviation secondaire d' Ockenburg, situé pres de La Hayeet le
champ d'aviation de Valkenburgqui était encore en voie de construction, ne fus-
sent pas utilisés effectivement par les forces aériennes, l'auteur a pourtant cru de
voir consacrer un bref chapitre a la conquète rapide des ces champs d'aviation
par les troupes parachutées et aéroportées allemandes et a la reconquète le même
jour par les unites de l'Armée de Terre néerlandaise.
Afin de défendre la partie occidentale des Pays-Bas - la partie la plus importante
du pays les batteries d'artillerie antiaérienne, ainsi que les groupes de mitrail
leuses antiaériennes, de même que les sections de projecteurs de D.C.A. furent
groupées en trois secteurs D.C.A.AmsterdamRotterdam/La Haye et Utrecht/
Soesterberg. L'Armée de campagne disposait de neuf petites unités D.C.A. (uni-
quement des canons de 2 et 4 cm). Deux unités (batteries) furent affectées a
chacun des quatre Corps d'armée, tandis que deux brigades disposaient chacune
d'une demie compagnie.
Le ier Corps d'Armée de Terre se trouvait sur le littoral de la Mer du Nord, com-
me force stratégique de réserve. Malgré cette affectation déterminée d'avance, il
devait être engagé dans le combat contre les troupes parachutées et aéroportées
allemandes, atterries derrière les lignes néerlandaises.
Les commandants de la position du Helder et de la province de gelande disposaient
d'artillerie, de mitrailleuses et de projecteurs de D.C.A. Le commandant territo
rial du Limbourg méridional aussi disposait de quelques armes de D.C.A. Par ail-
leurs le Dépöt d'Artillerie antiaérienne d'Alkmaar avait mis ses armes en batterie
le 10 mai 1940.
Les opérations de guerre accomplies par les unités susnommées sont décrites dans
un chapitre spécial.
L'activité des unités D.C.A. stationnées aux champs d'aviation du Kooy (situé
prés du Helderde Schiphol, de Waalhaven (prés de Rotterdamde Bergen (prés
d'Alkmaar), d' Ypenburg (prés de La Haye), de Souburg (prés de Flessingué), de Haam
stede (dans la province de Jè/élande) et du Vlijt (ile de Texel), et le röle qu'ils ont
joué sont relatés dans les chapitres II, III et IV.
L'activité du Service du guet aérien pendant les combats du 10 au 19 mai 1940
est décrite dans le chapitre VII. Quant au chapitre, il dépeint l'appui tant terres-
tre, naval, qu'aérien fourni par notre allié francais. De son cöté l'Angleterre,
notre allié d'outre-Manche, nous prêta le concours de sa 'Royal Air France'
(avions de chasse et bombardiers)
Le chapitre IX traite de l'ennemi. Après un exposé concis de l'organisation et de
la force de la 'Luftwaffe', l'auteur décrit chaque unité de la 'Luftwaffe', engagée
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